Tour de France 2007
7ème étape : Bourg-en-Bresse / Le Grand Bornand
Résumons le passage du Tour de France grâce à une séquence photo. Le tour c'est d'abord le passage de la caravane publicitaire avec des engins motorisés tous plus insolites les uns que les autres. Suivi des voitures officielles et des motos du direct, qui sont situées juste devant les coureurs. Arrive ensuite les coureurs, pour ce début de la 8ème étape c'est un peloton groupé que nous apercevons car ça défile très vite. Il est donc difficile de reconnaître des coureurs et ce même sur les photos. Et ce sont les voitures des directeurs sportifs, et voitures suiveuses qui clôture la course.
Salon aéronautique du Bourget
Ce 47e Salon présenta les plus récents aéronefs au monde, parmi les plus significatifs :
- L’A380
- Le Falcon 7X et le Rafale de Dassault Aviation
- L’EMB 190 et Le Legacy 600 d’Embraer
- Les G450 et G550 de Gulfstream
- La maquette du F35-JSF sur le stand Lockheed Martin
- Le M346 d’Aermacchi
- Le Tigre
- le NH90
- L’Eurofighter Typhoon
- Le Mig 29 OVT
- L’avion ravitailleur Airbus 330 MRTT
- Le Boeing B777-300 ER
- L’avion convertible BA609
Le domaine spatial était bien représenté avec une forte présence de l’ESA, du CNES, des industriels français et des acteurs russes de ce secteur.
Roland Garros 2007
La nuit des musées
C’est seulement la 3ème édition de la nuit des musées, et vu le succès grandissant de cette manifestation, on est en droit de penser que ça n’est pas prêt de s’arrêter. Pour résumer, la nuit des musées c’est un accès gratuit à de nombreux musées en France et en Europe durant une bonne partie de la nuit avec des animations particulières qui enchantent les visiteurs d’un soir. La nuit des musées c’est aussi des minutes, voir même des heures d’attentes.
Pour ma part, cette année j’ai ciblé mon choix sur deux musées, le musée du quai Branly et celui les Invalides. Coté animation, j’ai pu observer au musée du quai Branly une troupe africaine qui dansait et jouait de la musique (instruments et tenues du pays, dépaysement garanti), ainsi qu’un contorsionniste qui aurait fait pâlir l’homme caoutchouc. "Je ne sais pas de quel origine il est, mais je n’ai jamais vu ça de ma vie ! " m’a glissé mon voisin d’un soir. Et j’ai également pu entendre une chorale militaire sous le dôme des Invalides avec une marseillaise qui nous donnait des frissons dans le dos.
Musée du quai Branly
Au cœur du Paris des musées, voisin du Louvre et du musée d’Orsay, à quelques minutes des Grand et Petit Palais, du Palais de Tokyo et du musée d’art moderne de la Ville de Paris, le musée du quai Branly occupe un site exceptionnel sur les rives de la Seine, au pied de la tour Eiffel. Les arts d’Afrique, d’Océanie, d’Asie et d’Amérique s’inscrivent dorénavant au centre du grand circuit historique et artistique de la capitale. Le musée du quai Branly est un établissement culturel novateur : à la fois musée, centre d’enseignement et de recherche, et espace à vivre pour les publics. Construit sur l’un des derniers terrains disponibles au cœur de Paris, le concept architectural de ce projet original est signé par Jean Nouvel.
L’idée d’ouvrir, à Paris en 2006, un musée entièrement consacré aux arts d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et d’Amérique matérialise une belle ambition : permettre la diversité des regards sur les objets, de l’ethnologie à l’histoire de l’art, et reconnaître officiellement la place qu’occupent les civilisations et le patrimoine de peuples parfois tenus à l’écart de la culture actuelle de la planète. Un musée pour les arts non occidentaux dont la collection comporte environ 300 000 objets, qui proviennent en majorité du musée de l’Homme (250 000 objets du laboratoire d’ethnologie) et du musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie (25 000 objets).
Cette collection est organisée par aires géographiques : Afrique, Amérique, Asie et Océanie. Elle abrite aussi des fonds transverses sur le plan géographique (collection d’instruments de musique, collection Histoire, collection de textiles), et un exceptionnel fonds photographique. Au-delà de la sculpture qui fait régner partout sa puissance plastique et sa variété formelle, trois domaines montrent combien l’art est toujours présent dans le quotidien : la musique, les textiles et l’orfèvrerie.
Les photos étant interdites à l’intérieur du musée, je vous invite à découvrir une partie des collections exposées sur le site suivant : http://www.quaibranly.fr/
Les Invalides
En 1670, Louis XIV décide de faire construire un bâtiment susceptible d'abriter ses soldats invalides ou trop âgés pour servir. Il confie son projet au Secrétaire d'Etat à la Guerre, Louvois, qui choisit l'architecte Libéral Bruant pour la construction de l'hôtel, dont le plan n'est pas sans rappeler l'Escorial de Philippe II (Espagne). Ce projet s'inscrit dans le courant charitable et social du XVIIe siècle et l'Hôtel des Invalides devient un exemple pour bien d'autres pays européens.
En 1676, le projet de l'église, au sud, est confié à Jules Hardouin-Mansart qui réalise la grande église royale, dite Eglise du Dôme (reprenant les plans de son grand oncle François Mansart) et achève l'église pour le culte quotidien des pensionnaires, l'Eglise des Soldats. L'Eglise du Dôme est un chef d'œuvre de l'architecture classique française ; son décor est confié aux plus grands artistes de Louis XIV (Charles de la Fosse, Jouvenet et Girardon) qui travaillent aussi à Versailles. Point de référence dans le paysage parisien culminant à 101 mètres, elle est inaugurée par le roi le 28 août 1706.
Sous Napoléon Ier, le Dôme devient le panthéon des gloires militaires de la France en accueillant, notamment, le tombeau de Turenne et l'urne contenant le cœur de Vauban. En 1989, à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française, le dôme a été redoré pour la cinquième fois depuis sa création ; 550 000 feuilles d'or, c'est à dire plus de dix kilos, ont été nécessaires pour l'opération.
L'Eglise des Soldats, dite aussi "chœur des pensionnaires", destinée au culte et aux offices quotidiens de ces derniers, est achevée en 1679. L'Eglise Saint-Louis des Invalides, dont la voûte est ornée des trophées militaires de la France, abrite le caveau des gouverneurs où reposent de nombreux gouverneurs des Invalides, des maréchaux de France et des grands chefs militaires.
Dédiée à saint Louis et consacrée à la Sainte Trinité, l'église est rattachée administrativement au musée de l'Armée dès sa création en 1905. Elle est aujourd'hui le siège du vicariat aux armées françaises et sert chaque année de cadre à des messes commémoratives parmi lesquelles la messe anniversaire de la mort de Napoléon Ier, le 5 mai, et en septembre la messe anniversaire de la fondation de l'hôtel.
La construction de l'enceinte militaire est achevée en trois ans seulement et les premiers invalides s'y installent dès octobre 1674. La vie des 4 000 pensionnaires (fin XVIIe siècle) est soumise aux exigences d'une caserne et d'un monastère. Divisés en compagnies, les soldats travaillent dans des ateliers de confection d'uniformes, de cordonnerie, de tapisserie et d'enluminure, afin de combattre l'oisiveté. Les grands blessés, au nombre d'une centaine, sont pris en charge dans l'Hôpital, installé au Sud-Est. Celui-ci est toujours actif aujourd'hui alors que la pension des vieux soldats est maintenant dévolue aux espaces du musée.
Le jardin des serres d'Auteuil
Le jardin des serres d'Auteuil propose un voyage insolite à travers l'espace et le temps. Il réunit tout à la fois l'élégance d'un jardin régulier, le charme d'une architecture de la fin du XIXème siècle, l'exotisme des plantes tropicales originaires de pays lointains et la richesse végétale d'un jardin botanique. Ce lieu magique est devenu au fil des ans un jardin éclectique où sont rassemblés de nombreux témoignages de l'art des jardins. ---------------------------------------------------------------------------
Paradis des amateurs de botaniques et d'horticulture, avec ses arbres remarquables et ses splendides collections de plantes rares, le jardin compte 6 000 végétaux regroupés en collections thématiques (succulentes, plantes de Nouvelle-Calédonie) ou systématiques (Palmiers, Ficus, Begonias, fougères…). C'est l'un des jardins les plus singuliers de la Capitale, qui est aussi le siège de la Direction des Parcs, Jardins et Espaces verts de la Mairie de Paris.
Les serres, typiques de la fin du XIXème, sont sans conteste l'une des merveilles de ce jardin. Elles furent construites en pleine vogue des jardins d'hiver et sont les dernières grandes serres à avoir été construites en France au XIXème siècle. Leur structure métallique offre une gamme de tons de bleu, vert et turquoise.
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Entièrement rénové en 1999, le palmarium dévoile sous une chaleur tropicale ses splendides spécimens d'arbres et d'arbustes subtropicaux et tropicaux. Ils voisinent avec un imposant palmier des Canaries, qui assiste, impassible, au ballet des carpes japonaises qui anime les eaux du bassin. Le chant des oiseaux exotiques, qui virevoltent dans une élégante volière, achève de vous transporter dans un autre univers !
Finale de la Coupe de la Ligue
Cette finale oppose Lyon à Bordeaux. Cette rencontre se déroule au Stade de France à Saint-Denis, lieu de joie, de déception car c’est un lieu de finale où il n'y a qu'un seul gagnant à la fin des matchs. Mais lieu de fête avant tout, l’ambiance avant match est bonne enfant (samba brésilienne, musique basque, drapeaux, exhibition d’hommes échasses,…).
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Ces deux équipes ont déjà remporté cette compétition, en 2001 pour l’Olympique Lyonnais et en 2002 pour les Girondins de Bordeaux. Avec une victoire ce soir, Lyon pourrait réaliser le premier doublé (coupe – championnat) de son histoire. Les bordelais eux s’assureraient une place qualificative pour la coupe de l’UEFA avant même la fin du championnat. A l’entrée des joueurs, le stade est archi-comble, on chantonne le fameux "Qui_ne_saute_pas,_n'est_pas_Lyonnais ! Hé !".
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Le match se résumera à une bataille tactique de la part des entraîneurs. Lyon aura une nette domination de la rencontre, essayant de nombreuses combinaisons pour contourner la défense girondine, sans pour autant parvenir à marquer. Au fil des minutes, les bordelais contiennent de mieux les assauts lyonnais pour finalement les éteindre définitivement à la 88ème minute. Avec un but de la tête sur corner du défenseur bordelais Henrique.
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La déception est grande, Lyon mon club de coeur ne gagnera pas. Je me sens soudain seul, seul au milieu des lyonnais, je suis là, cloué sur place, abasourdi,… Je sais que je n’aurai pas cette montée d’adrénaline que procure un but mon équipe préférée. Les joueurs disent qu’une finale n’est belle que lorsqu’elle est gagnée, il en est de même pour nous les supporters. ----------------------------------------------------------------------------------------------